Parce qu’ils refusaient la solitude de leur logement et cherchaient une alternative à l’Ehpad, ils ont décidé il y 4 ans de se lancer dans l’aventure de l’habitat participatif. En auto-promotion, sans bailleur social pour garder la maîtrise d’ouvrage et construire un ensemble de 16 logements à leur goût, ils ont pu emménager en 2017 dans ce qu’ils appellent leur oasis, un nom qui prend aujourd’hui tout son sens au regard de l’actualité.